Anne-Marie était comédienne au théâtre. Elle se confie à une journaliste imaginaire et évoque son passé. La troupe, les coulisses, les rôles, ce dont on rêvait et ce qui est advenu. La gouaille d’un titi parisien mâtinée de nostalgie.
C’est aussi un hymne aux obscurs qui ont cru en leur étoile, aux oubliés qui ont brillé pour quelques-uns.
Un régal de lecture, fluide et poétique.
Yasmina Reza a mis en scène son texte et a confié le rôle à un homme : l’acteur André Marcon.
J’aurais tant aimé voir ce spectacle …