Voici une sélection de romans pour s’évader, s’émouvoir, se divertir pendant les vacances !
Pour toutes et tous et pour tous les âges (ou presque) :
Venise n’est pas en Italie de Ivan Calbérac (Livre de poche 7,60€)
Acceptant l’invitation de la fille qu’il aime, qui lui a proposé de venir l’écouter en concert à Venise pendant les vacances de Pâques, un garçon de 15 ans est fou de joie. Mais sa famille d’excentriques décide de l’accompagner. Premier roman.
Le jour où les lions mangeront de la salade verte de Raphaëlle Giordano (Eyrolles 16,00€)
Romane s’est donnée pour mission de réduire ce qu’elle appelle le taux de burnerie, dont les symptômes sont le sentiment de supériorité, l’égocentrisme, le penchant pour le pouvoir ou encore la mauvaise foi. Elle accueille des stagiaires pour les accompagner dans leur parcours, avec des méthodes pour le moins originales.
Handi-Gang de Cara Zina (consultez notre coup de cœur en cliquant sur le titre)
Quand sort la recluse de fred Vargas
Tout va très bien, madame la comtesse de Francesco Muzzopappa (J’ai Lu 6,70€)
Les aventures rocambolesques d’une vieille aristocrate désargentée, Maria-Vittoria dal Pozzo della Cisterna, qui décide de mettre en scène son propre kidnapping pour renflouer le compte en banque familial. Premier roman.
Croire au merveilleux de Christophe Ono-Dit-Biot (Gallimard 20,00€)
César a perdu sa femme et n’arrive pas à vivre sans elle malgré l’enfant qu’ils ont eu ensemble. Désespéré, il décide d’en finir mais, au moment où il se sent vaciller après avoir ingéré des médicaments, quelqu’un frappe à la porte. C’est ainsi qu’il fait la connaissance de sa nouvelle voisine, une jeune femme à l’accent grec, qui l’aide peu à peu à se reconnecter à la vie.
Un nom de torero de Luis Sepulveda (Point 6,40€)
Juan Belmonte quitte le Chili de Pinochet et part à la recherche d’une collection de pièces d’or volée en 1941 par les nazis. En route pour la Patagonie, il rencontre des guérilleros ainsi qu’une galerie de personnages empruntés aux écrivains de la génération de l’auteur, né en 1949.
Comment (bien) rater ses vacances de Anne Percin
Avenue des mystères de John Irving (Point 8,90€)
Au cours d’un voyage aux Philippines, Juan Diego Guerrero, devenu adulte, revit des souvenirs de son enfance et de son adolescence au Mexique.
Rufus le fantôme de Chrysostome Gourio
L’ombre de nos nuits de Gaëlle Josse (J’ai Lu 6,00€)
De passage dans une ville, une femme rentre dans un musée. Bouleversée par le tableau Saint Sébastien soigné par Irène, de G. de La Tour, elle se remémore un amour passé. A ses souvenirs s’entremêle l’histoire de la création de l’œuvre par le peintre et par son apprenti.
Mémé Dusa de Anne Schmauch
Un truc truc comme un biscuit craquant de Emily Lockhart
Une plaie ouverte de Patrick Pécherot (Folio 7,20€)
Paris, 1870. Une bande d’amis vit l’insurrection de la Commune avant d’être dispersés, arrêtés ou recherchés. L’un d’eux, Dana, en fuite, est condamné à mort. Ce personnage trouble, entouré de mystère, hante son camarade Marceau qui veut le retrouver. Trente ans plus tard, il croit le reconnaître parmi les figurants du premier western de l’histoire. Prix Transfuge du meilleur polar français 2015.
Le restaurant de l’amour retrouvé de Ogawa Ito (Picquier pooche 8,00€)
Suite à un chagrin d’amour, Rinco perd la parole et décide de retourner dans son village natal. Elle y ouvre un restaurant dont la particularité est de ne servir qu’un couvert par jour, et de concevoir des plats capables d’exaucer le désir le plus profond de chaque client. Premier roman.
Sauveur et fils (saison 1) de Marie-Aude Murail