Moi, ce que j’aime, c’est les monstres – Livre premier – Roman graphique

par Emil Ferris, Jean-Charles Khalifa

Résumé :
Chicago, fin des années 1960. Karen Reyes, dix ans, adore les fantômes, les vampires et autres morts-vivants. Elle s’imagine même être un loup-garou. Le jour de la Saint-Valentin, sa voisine, la belle Anka Silverberg, se suicide d’une balle dans le coeur. Karen qui n’y croit pas et décide d’élucider ce mystère. Elle va découvrir qu’entre le passé d’Anka dans l’Allemagne nazie, son quartier prêt à s’embraser et les secrets tapis dans l’ombre de son quotidien, les monstres sont des êtres comme les autres.
Journal intime d’une artiste prodige, c’est l’histoire magnifiquement contée d’une fascinante enfant. Dans cette œuvre magistrale, à la fois enquête, drame familial et témoignage historique, Emil Ferris tisse un lien personnel entre un expressionnisme féroce et l’univers de Maurice Sendak.

Coup de cœur :
Un roman monde, un monument gothique et baroque qui célèbre la vérité et la différence. Une prouesse narrative et graphique.
Emil Ferris ou le nouveau MONSTRE sacré de la bande dessinée !

« Une des plus grande artiste de BD de notre temps » – Art Spiegelman (auteur de Maus).

Ce livre contient « 42% de mystère, 18% de fiction historique, 6% de romance, 21% de souvenirs, 5% de réalisme urbain, 6% de critique sociale mordante, 10% d’humour et 3% de thriller surnaturel… et de nombreux cœurs qui battent encore, des milliers de crocs prêts à mordre, de puissantes sensations souterraines et d’un appétit féroce pour la vie » – Monsieur Toussain Louverture (éditeur).