La fille qu’on appelle

par Tanguy Viel

Quand il n’est pas sur un ring à boxer, Max Le Corre est chauffeur pour le maire de la ville. Il est surtout le père de Laura qui, du haut de ses vingt ans, a décidé de revenir vivre avec lui. Alors Max se dit que ce serait une bonne idée si le maire pouvait l’aider à trouver un logement.

Coup de cœur : dans une langue brillante, avec une jubilation d’écriture qui n’a d’égale que la noirceur du propos, Tanguy Viel décortique et expose des faits qui deviennent terriblement réels. Il nous emmène là où on ne voudrait jamais aller, dans les linges sales du pouvoir, mais avec quel talent !